Le Conseil des prud’hommes de Bobigny, reconnaît dans son jugement du 23 mai 2017, la discrimination dont a été victime un agent au sein de son entreprise en raison de son origine. Dans sa décision datant du 23 mai, le conseil a affirmé que ce salarié embauché en 2002, n’a pas eu l’avancement de carrière qu’il pouvait escompter. La SNCF a donc été forcée de verser des dommages et intérêts « au titre du préjudice moral qu’il a subi et du fait de la discrimination dont il a été victime ».
Vous pouvez retrouver le communiqué de presse du Défenseur des Droits ICI