Selon le rapport du Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR) publié le 18 juin, les déplacements forcés concernent aujourd’hui plus de 1% de l’humanité – soit une personne sur 97 – celles qui fuient étant de moins en moins nombreuses à pouvoir rentrer dans leur pays d’origine.

 

« Nous assistons à un changement de réalité où les déplacements forcés sont à la fois beaucoup plus fréquents, et où le phénomène n’est plus à court-terme et transitoire », déclare le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.

« On ne peut attendre des gens qu’ils vivent dans la tourmente pendant des années, sans possibilité de rentrer chez eux ou de se bâtir un avenir là où ils se trouvent. Nous devons adopter une attitude fondamentalement novatrice et davantage accueillante à l’égard de ceux qui fuient, conjuguée à un effort résolu pour mettre fin aux conflits qui perdurent depuis des années et sont à l’origine même de ces intenses souffrances. »

 

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