La tuberculose frappe, de nos jours encore, les personnes les plus précaires.

Pour les quelques 5 000 cas ainsi déclarés chaque année en France, le tableau est le plus souvent celui d’une grande détresse sociale.

 

Obstacles à l’obtention d’une protection maladie, absence d’hébergement, isolement social, barrière de la langue…, autant de difficultés auxquelles sont confronté·e·s nombre d’exilé·e·s accompagné·e·s par le Comede (Comité médical pour les exilés).

 

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